A nouveau le rating d'or d'Ecovadis pour ISS Suisse

Le prestataire de Facility Management ISS Suisse a de nouveau été récompensé par la médaille d'or dans le célèbre rating de durabilité d'EcoVadis. Avec 81 points sur 100, l'entreprise fait partie du top 5 pour cent de toutes les entreprises évaluées dans le monde.

ISS Suisse obtient le Gold-Rating d'EcoVadis - et compte parmi les entreprises les plus durables au monde. (Image : zVg / ISS Suisse)

L'évaluation par EcoVadis - l'une des principales plateformes indépendantes de notation du développement durable - se base sur 21 critères dans les domaines de l'environnement, du droit du travail et des droits de l'homme, de l'éthique et de l'approvisionnement durable.

Amélioration supplémentaire

Dans les domaines de l'environnement (+4 points), de l'éthique (+2) et de l'approvisionnement durable (+3), ISS Suisse a encore pu s'améliorer par rapport à l'année précédente. L'évaluation séparée dans le "Carbon Management" au niveau le plus élevé "Leader" - une évaluation obtenue par les entreprises avec une gestion complète du CO₂ et un ancrage stratégique des objectifs pour les catégories climatiques Scope 1, 2 et 3 - est particulièrement mise en évidence.

"Après la de platine de l'année dernière ce résultat est la preuve du développement conséquent de notre gestion du développement durable - et de notre exigence de mettre en œuvre des solutions efficaces avec nos collaborateurs et pour nos clients", déclare Marc Amstutz, Head of Sustainability & Environment chez ISS Suisse. Comme EcoVadis renforce continuellement les critères et les valeurs seuils, la distinction Or de cette année souligne également l'engagement élevé et permanent d'ISS Suisse dans le domaine du développement durable, comme l'indique un communiqué de presse correspondant.

ISS Suisse : "Un partenaire solide en matière de développement durable".

Selon ses propres indications, ISS Suisse poursuit l'objectif d'atteindre d'ici 2030 des émissions nettes de CO2-dans ses activités commerciales directes et, d'ici 2040, tout au long de la chaîne de création de valeur. Cet engagement se manifeste également dans les opérations quotidiennes chez les clients. "Notre stratégie de durabilité est efficace lorsqu'elle devient également tangible pour nos clients - sous la forme d'activités de réduction du CO₂ mesurables, de services intelligents et d'une utilisation efficace des ressources sur la voie de la neutralité climatique", souligne Amstutz.

ISS Suisse reste ainsi un partenaire fort en matière de développement durable - en interne comme en externe - et souligne son rôle de moteur pour des Facility Services et des solutions Real Estate durables et responsables en Suisse.

Source : ISS Suisse

Le fournisseur de services informatiques Bechtle obtient la validation de ses objectifs de réduction d'émissions

Bechtle AG a reçu la confirmation officielle de la Science Based Targets Initiative (SBTi) que ses objectifs à court et moyen terme de réduction des émissions de gaz à effet de serre répondent aux critères de la SBTi. Les objectifs soumis par le prestataire de services informatiques sont ainsi validés selon des normes fondées sur la science du climat. De plus, en signant la SBTi Net-Zero Commitment Letter, Bechtle confirme son engagement à long terme pour la protection du climat et la durabilité.

Bechtle obtient la validation pour des objectifs climatiques basés sur la science par la Science Based Targets Initiative (SBTi). (Image : Bechtle.com)

Le prestataire de services informatiques Bechtle, également actif en Suisse, a fait valider ses objectifs de réduction des émissions à court et moyen terme par la SBTi. L'objectif déclaré est d'atteindre zéro émission nette d'ici 2050 au plus tard. Le SBTi est une initiative commune de l'organisation environnementale mondiale à but non lucratif Carbon Disclosure Project (CDP), du Pacte mondial des Nations unies, du World Resources Institute (WRI) et du World Wide Fund for Nature (WWF). Elle aide les entreprises à atteindre des objectifs de réduction des émissions en accord avec la science climatique actuelle. L'accord de Paris, par lequel les pays signataires se sont engagés à limiter le réchauffement climatique à 1,5 degré par rapport au niveau préindustriel, constitue une base essentielle à cet égard.

Les objectifs de réduction des émissions présentés par Bechtle à la SBTi sont en accord avec l'objectif de 1,5 °C de cet accord climatique. Bechtle AG s'engage à réduire les émissions absolues de gaz à effet de serre des catégories Scope 1 et 2 de 54,4 % d'ici 2030 et à réduire les émissions Scope 3 des catégories "biens et services achetés" et "utilisation des produits vendus" de 55 % par 1 000 euros de valeur ajoutée d'ici 2030. La base de comparaison est à chaque fois l'année 2019. Ces objectifs ont été vérifiés dans le cadre du processus de validation SBTi et répondent aux exigences de la norme SBTi actuelle.

Engagement sur l'objectif à long terme du net zero d'ici 2050

De plus, Bechtle a signé la lettre d'engagement officielle Net-Zero de la SBTi. L'entreprise informatique s'engage ainsi à atteindre, d'ici 2050 au plus tard, des émissions nettes de gaz à effet de serre nulles pour toutes les sources d'émissions pertinentes des scopes 1 et 2 ainsi que, en fonction de l'intensité, pour les catégories du scope 3 mentionnées ci-dessus. Les mesures visent à une réduction systématique des émissions directes et indirectes tout au long de la chaîne de création de valeur. Avec cette signature, Bechtle veut donner encore plus de poids aux objectifs ancrés dans sa stratégie de durabilité 2030.

"La validation de nos objectifs par la SBTi souligne la crédibilité de notre engagement en faveur de la protection du climat. Nous prenons au sérieux notre responsabilité en tant que l'un des principaux prestataires de services informatiques européens et soutenons expressément l'approche de la SBTi basée sur la science", déclare Antje Leminsky, COO de Bechtle AG.

Lignes directrices pour un entrepreneuriat responsable

Avec sa stratégie de développement durable 2030, Bechtle a défini des objectifs économiques, écologiques et sociaux. Elle se réfère aux objectifs de développement durable de l'ONU et comprend les quatre champs d'action stratégiques suivants : économie éthique, environnement, personnes et avenir numérique. Chaque champ d'action est accompagné d'un programme qui comprend des objectifs, des étapes et des mesures opérationnelles.

Source et informations complémentaires : www.bechtle.com

La cybersécurité dans les achats : entre la pression des coûts et le manque de normes

Les plus grands déficits structurels se situent au niveau de la standardisation des critères de sécurité et de la pondération stratégique de la sécurité par rapport aux coûts. Les grandes entreprises luttent contre la coordination interne, les petites entreprises contre le manque de savoir-faire. C'est ce qu'a révélé une enquête de Sophos.

Dans de nombreuses entreprises, la cybersécurité des achats est encore freinée par la pression des coûts, l'absence de normes et le manque de coordination. (Image : Depositphotos.com)

L'importance de la cybersécurité dans les achats ne cesse de croître, mais de nombreux départements achats des entreprises sont confrontés à des défis considérables. C'est ce que révèle une récente enquête menée par le fournisseur de services de sécurité informatique Sophos auprès de 201 responsables des achats de différents secteurs et de différentes tailles d'entreprises en Allemagne.

L'optimisation des coûts, le plus grand obstacle

Selon l'enquête, les quatre plus grands défis parmi toutes les personnes interrogées sont

  • Focalisation sur la réduction des coûts plutôt que sur la sécurité à long terme (45%)
  • Absence ou quasi-absence de critères de sécurité standardisés dans l'évaluation des fournisseurs (41,6 %)
  • Trop peu de sensibilisation à la cybersécurité dans les services d'achat (40,1 %)
  • Manque de coordination avec le propre service informatique/sécurité (39,6 %)

Avec 45 %, l'orientation vers la réduction des coûts représente le défi le plus souvent cité. Cette tension entre efficacité et mesures de protection montre que la cybersécurité est peut-être encore souvent traitée comme une priorité secondaire dans le domaine des achats.

La taille de l'entreprise détermine les défis

Environ 42 pour cent des personnes interrogées déplorent l'absence ou la quasi-absence de critères de sécurité standardisés dans l'évaluation des fournisseurs. En outre, près de 40 pour cent déplorent un manque de coordination avec leur propre service informatique ou de sécurité ; ce facteur est particulièrement cité dans les grandes entreprises (plus de 52 pour cent dans les entreprises de plus de 1000 collaborateurs).

L'enquête révèle en outre des différences selon la taille de l'entreprise. Les petites entreprises (100 à 249 collaborateurs) sont particulièrement confrontées à un manque de savoir-faire technique (35,8 %) et à des critères de sécurité non standardisés (54,7 %). Les grandes entreprises de plus de 1000 collaborateurs voient surtout des problèmes de coordination avec le service informatique ou de sécurité (52,6 pour cent).

Ainsi, alors que les petites entreprises semblent manquer de compétences, les structures complexes des grandes entreprises rendent souvent difficile une intégration efficace de la sécurité.

Les administrations manquent de savoir-faire, les fournisseurs de services publics rappellent la sensibilisation à la cybersécurité

Il existe également de nettes différences entre les secteurs. L'administration publique signale particulièrement souvent un manque de savoir-faire et de normes (60,0 % dans les deux cas). Dans le secteur financier, c'est surtout le manque de formation qui pèse dans la balance (53,8 %).

Dans le secteur de la distribution, en revanche, les valeurs sont toujours faibles : seuls 13 % considèrent que le manque de savoir-faire est un problème, et seuls 17,4 % déplorent le manque de transparence des fournisseurs. Les entreprises de services publics déplorent à près de 100 % un manque de sensibilisation à la cybersécurité dans les services d'achat.

"Le fait que les entreprises de services publics se plaignent du manque de sensibilisation à la cybersécurité dans leurs achats est à prendre très au sérieux", commente Michael Veit, expert en sécurité chez Sophos. "Dans les secteurs sensibles en particulier, les aspects de sécurité ne devraient pas être sacrifiés sur l'autel de l'optimisation des coûts".

L'appel : donner encore plus la priorité à la cybersécurité, y compris dans les services d'achat

Les résultats de l'enquête le montrent : La cybersécurité est également de plus en plus reconnue comme un facteur critique dans les achats des entreprises. Toutefois, les connaissances, la coordination interne et les directives structurelles font encore défaut dans de nombreux endroits. Les entreprises sont donc appelées à accorder une plus grande priorité à ce thème, tant par des formations que par des directives claires dans l'évaluation des fournisseurs.

"De nombreux services d'achat sont aujourd'hui confrontés au défi d'intégrer de manière structurée les aspects de cybersécurité dans leurs processus", explique Michael Veit. "Mais il manque souvent un savoir-faire, des critères clairs ou une étroite collaboration avec le service informatique. Pourtant, la chaîne d'approvisionnement est justement un levier décisif pour la situation de sécurité d'une entreprise. C'est pourquoi les achats nécessitent des directives de sécurité claires, des collaborateurs formés et une étroite coordination avec les responsables informatiques. La résilience de réseaux d'approvisionnement entiers, par exemple, ne dépend plus depuis longtemps uniquement des pare-feu, mais aussi des décisions prises au niveau des achats".

Source : Sophos

L'IA générative frappe à la porte des chambres d'hôpital

L'IA générative offre aux établissements de santé la possibilité d'optimiser durablement leurs processus et d'améliorer encore la prise en charge de leurs patients. Mais comment aborder au mieux l'introduction de cette technologie ? Un fournisseur de technologie donne des idées pour le développement d'une stratégie globale.

L'IA générative présente un grand potentiel pour les établissements de santé. Après une phase d'expérimentation, de nombreux hôpitaux sont en train de franchir une étape supplémentaire. (Image : Depositphotos.com)

L'intelligence artificielle transforme le secteur de la santé depuis des années. L'émergence de l'IA générative donne désormais un coup de pouce supplémentaire à cette évolution. Elle promet aux établissements de santé d'optimiser davantage leurs processus et de fournir des soins encore plus personnalisés aux patients, notamment grâce à l'analyse automatisée des dossiers médicaux, à la création de documentation médicale ou aux assistants virtuels.

L'IA générative dans le secteur de la santé : Cinq aspects essentiels

Les établissements de santé ont reconnu depuis longtemps l'énorme potentiel de l'IA générative et nombre d'entre eux ont déjà expérimenté de premières applications. Ils souhaitent maintenant utiliser cette technologie à grande échelle, mais réfléchissent encore souvent à la meilleure façon d'aborder ce projet. Le fournisseur de technologies Dell Technologies explique cinq aspects essentiels pour le développement d'une stratégie GenAI.

  1. Des objectifs clairs. L'introduction de l'IA générative (GenAI) ne doit évidemment pas être une fin en soi. Elle doit résoudre des problèmes étroitement liés aux priorités stratégiques du secteur de la santé, telles que l'amélioration du traitement des patients, la rationalisation des processus ou l'augmentation de l'efficacité opérationnelle. Les établissements de santé trouvent ces cas d'application en identifiant les points faibles pour lesquels les méthodes traditionnelles ne fonctionnent pas et en déterminant si et comment GenAI peut combler ces lacunes.
  2. Une infrastructure de données robuste. Une qualité élevée des données est une condition préalable à la réussite de l'utilisation de l'IA générative. Or, les données de santé sont souvent fragmentées et dispersées dans de nombreux systèmes. Une infrastructure robuste pour la préparation des données est donc nécessaire pour soutenir les applications GenAI. Elle comprend des pipelines de données, des systèmes de stockage sécurisés et des outils permettant d'intégrer les informations provenant de différentes sources telles que les dossiers des patients, les systèmes d'imagerie et les notes cliniques. Il est préférable de recourir à des solutions évolutives qui peuvent suivre la croissance du volume de données.
  3. Cadre de gouvernance. L'IA générative est soumise à des exigences réglementaires telles que la loi sur l'IA de l'Union européenne et doit répondre à des normes éthiques. Pour s'assurer que leurs applications d'IAG répondent à ces exigences, les établissements de santé peuvent mettre en place un cadre de gouvernance. Celui-ci devrait être élaboré conjointement par l'informatique, les responsables de l'hôpital et le service juridique, et fournir aux employés des directives sur l'utilisation des données des patients, la conformité aux réglementations et les décisions éthiques.
  4. Culture de l'innovation. Pour tirer le meilleur parti des opportunités offertes par l'IA générative, il faut une culture de l'innovation et de l'expérimentation. Une étape décisive pour y parvenir est de surmonter les silos formés par l'informatique et les équipes cliniques. Une mesure simple mais efficace pour y parvenir est l'introduction d'un programme de formation dans lequel l'IT montre aux professionnels de la santé comment utiliser les outils GenAI dans leurs processus de travail. En outre, il convient d'aider les équipes informatiques et les cadres cliniques à développer ensemble des solutions adaptées à la pratique.
  5. Mesure de la réussite. Il est préférable que les établissements de santé commencent par introduire l'IA générative à petite échelle, mesurent l'impact et étendent ensuite la mise en œuvre en fonction des succès prouvés. Par exemple, si une solution GenAI réduit de manière significative les erreurs administratives dans un service, une mise à l'échelle horizontale de cette solution pourrait avoir un impact positif dans toute l'entreprise. Les indicateurs clés de performance (ICP) importants pour la mesure sont par exemple les gains d'efficacité, les économies de coûts ou la satisfaction des patients.

"L'IA générative offre aux établissements de santé la possibilité d'optimiser durablement leurs processus et d'améliorer encore les soins aux patients", explique le Dr Marten Neubauer, directeur terrain du secteur de la santé chez Dell Technologies en Allemagne. "La meilleure façon pour eux d'exploiter ce potentiel est de développer une stratégie qui crée un cadre clair pour anticiper et surmonter les défis qu'ils rencontrent lors de la mise en œuvre de cette technologie".

Source et informations complémentaires : Dell Technologies

Rendre les processus visibles - améliorer la qualité

Une gestion structurée des processus commerciaux permet d'identifier les inefficacités cachées et d'y remédier de manière ciblée. L'exemple pratique de Pro Nautik AG montre comment un chantier naval travaille plus efficacement, améliore la qualité et augmente la satisfaction des clients grâce à une analyse et une optimisation systématiques.

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Critères de qualité importants pour les fournisseurs de services gérés

La technologie informatique devient un facteur de compétitivité de plus en plus important pour les entreprises. Mais les ressources informatiques internes sont de plus en plus surchargées pour faire face aux exigences croissantes dans un pool de talents de plus en plus restreint. Cette situation critique rend nécessaire l'examen d'alternatives externes. Un partenariat stratégique dans le cadre de services gérés est considéré comme la meilleure solution. Mais quels critères de qualité un fournisseur de services gérés (MSP) doit-il remplir ?

Pour décharger les ressources informatiques internes, il n'y a pas d'autre solution que de faire appel à des fournisseurs de services gérés (MSP). Ceux-ci doivent répondre à quelques critères de qualité. (Image : Unsplash.com)

Les entreprises sont actuellement confrontées à trois grands défis : leur transformation numérique, le renforcement de leur résilience et la pénurie de main-d'œuvre qualifiée. Comme le montre l'étude La voix de nos clients du prestataire de services informatiques global CGI-Group, elles échouent souvent à cause de leurs frontières internes en silos qui empêchent la mise en place de solutions interdépartementales de bout en bout. La conséquence logique de ce dilemme est que les entreprises travaillent de plus en plus avec des fournisseurs de services gérés. Il ne s'agit plus seulement de fournir des prestations informatiques bon marché selon un accord SLA, mais de résoudre des problèmes complexes qui peuvent être résolus bien mieux, plus rapidement et de manière plus flexible par des spécialistes externes. La condition préalable est une collaboration intensive qui tient également compte du degré de maturité de l'entreprise concernée. La liste suivante montre les critères de qualité qu'un Managed Service Provider (MSP) doit remplir pour faire progresser les entreprises dans leur transformation numérique :

  • Gamme de servicesManaged Services : les services gérés proviennent de la mise à disposition externe de l'infrastructure informatique, comme les serveurs, les clients ou le stockage. Transposé dans le modèle du cloud, il s'agit de la couche inférieure (Infrastructure-as-a-Service ou IaaS en abrégé) de la pile. Mais cela ne suffit plus. Un MSP doit plutôt être en mesure de couvrir toutes les couches - comme Platform-as-a-Service (PaaS) et Software-as-a-Service (SaaS) - et de les intégrer en tenant compte des solutions d'automatisation et d'IA actuelles, du matériel à l'application.
  • Niveau d'intégration et partenariatLa solution doit être adaptée au degré de maturité de l'informatique de l'entreprise concernée, c'est pourquoi une analyse de maturité est effectuée au début de chaque collaboration. Celle-ci est d'autant plus efficace qu'elle est intensive et s'inscrit dans la durée. L'objectif est d'établir un partenariat stratégique durable qui libère les entreprises des tâches informatiques et leur permet de se concentrer sur la réalisation de leurs objectifs commerciaux.
  • Flexibilité et diagnostic des fournisseursCompte tenu du rythme de l'innovation numérique, un MSP doit être en mesure non seulement de fournir des services standard, mais aussi d'adapter en permanence de nouvelles solutions, par exemple à partir du marché des fournisseurs dans le domaine de l'IA, qui évolue presque quotidiennement. Il doit être à la pointe du développement technologique et l'utiliser pour répondre aux besoins spécifiques de l'entreprise. Un MSP ne doit donc pas être lié à certains fournisseurs et à leurs offres. Le diagnostic des fournisseurs (par analogie à Cloud Agnostic : faire fonctionner une application simultanément sur différents clouds, ndlr) est également un must pour exclure toute dépendance.
  • Automatisation et IAL'intelligence artificielle est devenue indispensable, non seulement pour l'analyse des données, les prévisions, les planifications complexes et l'automatisation des processus. L'expertise correspondante fait donc absolument partie du portefeuille de prestations d'un MSP. Il doit être en mesure d'analyser correctement le niveau de maturité de l'IA d'une entreprise et, sur cette base, de mettre en œuvre des projets d'IA qui créent une réelle valeur ajoutée.
  • Consolidation et gestion de la complexitéLa consolidation de l'environnement informatique est actuellement l'une des tâches les plus difficiles, mais aussi les plus importantes pour les entreprises, afin de le rendre gérable, agile et abordable. Le profil de qualité d'un MSP comprend donc la maîtrise d'infrastructures informatiques et d'environnements applicatifs complexes, leur transformation et leur modernisation ainsi que leur intégration dans les processus commerciaux.
  • Transformation et orientation vers les résultatsL'informatique n'est pas une fin en soi, mais un outil permettant d'atteindre les objectifs de l'entreprise. Par analogie, cela vaut également pour un MSP. La valeur de ses services et de ses prestations ne se reflète donc plus dans le taux de réalisation des SLA. Au contraire, il est essentiel de ne pas prendre en compte uniquement les prestations informatiques pures, mais de s'orienter de plus en plus vers les résultats commerciaux.

"Les entreprises luttent actuellement contre une multitude de défis", explique Ralf Bauer, président de CGI Allemagne. "La situation économique est difficile, la pression de l'innovation est forte, la complexité est élevée, le manque de personnel qualifié est un frein dangereux et les ressources informatiques doivent être consolidées de toute urgence. Dans cette situation, les entreprises ont besoin d'un partenaire aussi compétent qu'orienté vers le long terme, qui ne se contente pas de fournir des prestations informatiques, mais qui a aussi à cœur le succès de l'entreprise".

Source et informations complémentaires : www.cgi.com/de

Nouvelle direction pour le secteur Certifications au Swiss Safety Center

Après plus de 20 ans passés à la tête des certifications du Swiss Safety Center, Heinrich A. Bieler prendra une retraite bien méritée en juin 2025. Il transmettra à son successeur l'œuvre de sa vie, le centre de certification qu'il a su développer pour en faire un acteur renommé du marché suisse de la certification.

Dirigera désormais le domaine des certifications au Swiss Safety Center : Dr. Michael Grünenfelder. (Photo : zVg / Swiss Safety Center)

Un passage de témoin a lieu dans le domaine des certifications au Swiss Safety Center : Heinrich A. Bieler prend sa retraite. Michael Grünenfelder, Dr. oec. HSG, reprend ses fonctions. En tant que dirigeant expérimenté dans le secteur des services professionnels, Michael Grünenfelder a dirigé des départements nationaux et internationaux en tant que manager de ligne et dispose d'une vaste expérience dans la direction de grands projets et d'équipes de projet pour des projets d'infrastructure (centrales thermiques et énergies renouvelables). Il dispose également d'une vaste expérience dans la collaboration avec les autorités ainsi que dans le domaine de la conformité et de la prévention des conflits d'intérêts et de la garantie de l'impartialité. Son expérience pratique dans le domaine de la certification comprend de nombreux cas d'application pour l'optimisation des processus et la mise en place de systèmes de gestion selon différentes normes.

Dr Elisabetta Carrea, CEO de Swiss Safety Center AG, voit dans la nomination de Michael Grünenfelder à la tête de l'organisme de certification une opportunité de consolider sa position de prestataire de certification renommé et leader en Suisse. Parallèlement, Swiss Safety Center entend ainsi poursuivre sur la voie du succès pour une croissance supplémentaire dans ce domaine. Le Swiss Safety Center SA est une entreprise du groupe ASIT et fait donc partie du centre de compétences pour la sécurité technique et la gestion des risques. L'entreprise propose des solutions pour toutes les branches avec des services, des produits et des qualifications spécifiques dans le domaine de la sécurité et de la qualité. 

Source et informations complémentaires : Centre de sécurité suisse

Une enquête révèle une baisse de la qualité du service dans la restauration

A quelle fréquence les Suisses vont-ils manger à l'extérieur ? Qu'est-ce qui les énerve au restaurant - et que pensent-ils du pourboire ? L'institut de recherche en ligne Marketagent a mené une étude sur la qualité du service, les pourboires et les lignes rouges dans le secteur de la restauration.

Les Suisses aiment se faire plaisir au restaurant de temps en temps - si la qualité du service est bonne. (Image : LuckyLife11 / Pixabay.com)

L'entreprise Marketagent, spécialisée dans la recherche en ligne, dispose d'un panel en ligne de plus de 3 millions de personnes, qui a été certifié ISO en janvier 2010 en tant que premier access pool de la région D-A-CH et recertifié en janvier 2024 selon la norme ISO 20252 actuelle. Au sein de ce panel, Marketagent réalise des projets de recherche consommateurs pour des clients de renom. Récemment, dans le cadre d'une telle étude, 1000 Suisses de Suisse alémanique et de Suisse romande ont été interrogés sur leurs expériences dans les restaurants. 

Servi, mais pas gâté

Environ 7 Suisses* sur 10 s'offrent au moins une fois par mois un repas hors de chez eux (69 %) - plus qu'en Allemagne (54 %) ou en Autriche (65 %). Mais ce plaisir culinaire a ses limites : Globalement, la majorité des Suisses ont certes le sentiment que le client est effectivement "roi" dans la restauration (75 %). Mais seule une bonne* personne sur cinq en fait souvent l'expérience (22 %), tandis que 52 % n'en font qu'occasionnellement l'expérience. Un autre quart ne se sent que rarement ou jamais traité comme un roi (25 %). Les clients sont le plus souvent irrités par un mauvais rapport qualité-prix (32 %), suivis par de longs temps d'attente (28 %) et un service peu aimable ou de mauvaise qualité (27 %).

Changements de la qualité du service dans les restaurants : comparaison entre les pays DACH. (Source : Marketagent)

Environ une*personne sur quatre a l'impression que la qualité du service a baissé ces dernières années (27 %). Les personnes interrogées en Suisse sont un peu plus satisfaites que les Autrichiens. Dans le pays voisin, un bon tiers perçoit une baisse de la qualité du service (35 %). En dépit d'un agacement occasionnel, le ton reste généralement aimable dans les restaurants du pays - voire inexistant. En moyenne, les Suisses ne laissent qu'environ deux fois par an une remarque critique et seulement une fois une plainte claire.

Entre pourboire et salaire conventionnel

Le thème du pourboire est un sujet de tension : près de 9 Suisses* sur 10 sont prêts à donner un "overtip" en cas de bon service. Dans le même temps, 86 % se prononcent en faveur d'un bon service rémunéré par des salaires équitables - au lieu d'un don volontaire. 80 % plaident pour une exonération fiscale du pourboire et près de 4 sur 10 souhaiteraient le supprimer en principe.

Attitude vis-à-vis du pourboire*

Pour un bon service, je donne volontiers un bon pourboire

87,1 %

J'apprécierais qu'un bon service soit récompensé par des salaires équitables - et non par des pourboires.

85,9 %

Je pense que les pourboires devraient être exonérés d'impôts.

80,1 %

Je ne sais pas toujours quel pourboire est approprié

58,2 %

Je pense que les pourboires devraient être supprimés

37,6 %

Je donne un pourboire même si le service est mauvais

27,4 %

Valeurs de la boîte Top 2 : "tout à fait d'accord" + "plutôt d'accord" || n = 1.039 personnes de Suisse alémanique et de Suisse romande

Réserver avec décence - mais sans carte de crédit

La majorité des clients de la restauration locale respectent les accords : Seuls 16 % ne se sont déjà pas présentés une fois malgré une réservation et sans avoir annulé. Ils sont tout aussi peu nombreux à avoir déjà réservé en parallèle dans plusieurs établissements (16 %). En revanche, les nouvelles pratiques issues de la restauration, qui visent à améliorer encore le moral des réservataires, ne trouvent guère d'écho auprès des Suisses. Ainsi, 72 % refusent clairement de devoir fournir les détails de leur carte de crédit dès la réservation. De même, les time-slots, les frais de service fixes ou les pénalités représentent pour la majorité des clients de la restauration* des lignes rouges claires qui les dissuaderaient de se rendre (à nouveau) au restaurant.

Oui aux prestations gratuites - mais pas contre un supplément de prix

Commander de l'eau du robinet est très répandu en Suisse - environ deux tiers l'ont déjà fait (63 %). Mais peu d'entre eux souhaitent payer pour cela : en moyenne, ils accepteraient de payer 1,50 CHF maximum pour un verre d'eau du robinet. Si ce service devenait payant, beaucoup préféreraient y renoncer.

Dans l'ensemble, Roland Zeindler, directeur de Marketagent Suisse, voit un résultat différencié en ce qui concerne la qualité du service : "Les Suisses apprécient la bonne nourriture et sont prêts à mettre la main au porte-monnaie pour cela - à condition que la qualité et le service soient au rendez-vous. Mais la satisfaction s'effrite : Une personne sur quatre perçoit une dégradation de la qualité. Les nouvelles règles telles que l'eau du robinet payante, les frais supplémentaires pour les assiettes ou l'obligation d'utiliser une carte de crédit pour les réservations sont souvent mal perçues. La restauration est appelée à faire preuve de tact pour ne pas gâcher l'envie de manger à l'extérieur".

Source : www.marketagent-schweiz.ch

Détection 3D d'objets transparents en moins de deux secondes

Ce qui n'est généralement pas un problème pour l'œil humain s'avère être un défi pour les robots : la reconnaissance 3D d'objets transparents. Des chercheurs de l'institut allemand Fraunhofer IOF ont réussi une percée dans ce domaine.

Un nouveau procédé thermographique accélère la reconnaissance 3D d'objets transparents. (Image : Fraunhofer IOF)

Des chercheurs de l'Institut Fraunhofer d'optique appliquée et de mécanique de précision IOF ont mis au point une nouvelle technologie qui permet aux robots de détecter des objets transparents ou noirs en moins de deux secondes. Le système, appelé goROBOT3D, utilise une technologie de thermographie 3D améliorée qui permet de mesurer efficacement des surfaces difficiles à détecter comme le verre, le plastique et le métal. Auparavant, le processus nécessitait jusqu'à 15 secondes, mais grâce à une nouvelle technique de projection et à l'introduction de la technologie single shot, il peut désormais être effectué en moins d'une seconde et demie.

Reconnaissance 3D avec une nouvelle méthode

Le système goROBOT3D utilise une méthode nouvellement développée qui consiste à chauffer la surface de la scène de mesure avec un motif de points thermiques structuré. Deux caméras thermiques enregistrent ce motif et calculent les données 3D à l'aide d'une corrélation spatiale croisée. Au lieu de la méthode précédente, qui nécessitait l'acquisition de plusieurs paires d'images, une seule paire d'images suffit désormais pour reconstruire les données 3D en quelques millisecondes.

Les données 3D obtenues sont analysées par l'intelligence artificielle afin de déterminer les points et directions de préhension appropriés. Ces informations sont transmises à un bras robotique qui saisit l'objet à l'aide d'une pince à vide. Ce processus, connu sous le nom de "bin picking", permet aux robots de saisir des objets dans des environnements chaotiques.

Intégration flexible

La nouvelle technologie offre des avantages significatifs pour les processus de production automatisés, car elle réduit drastiquement les temps de cycle et permet ainsi une production sans faille et sans interruption. Le système peut être intégré de manière flexible dans différentes applications et sera présenté pour la première fois lors du salon Automatica à Munich du 24 au 27 juin 2025.

Source : www.iof.fraunhofer.de

Simplifier la conformité avec un logiciel de gestion des politiques basé sur l'intelligence artificielle

Les institutions multinationales, les ONG ou le secteur public sont souvent confrontés à un flot de documents qu'ils doivent examiner et mettre à disposition à des fins de conformité, d'audit ou ESG. Un exemple d'application à l'UICN (Union internationale pour la conservation de la nature et des ressources naturelles) montre comment cela peut être simplifié avec le soutien de l'IA.

Réglementations, normes, politiques : un logiciel de gestion des politiques basé sur l'IA de simplifie considérablement la conformité. (Image : Depositphotos.com)

Les plus grands défis lors de la préparation d'audits, de l'adaptation de cadres ESG ou de la confrontation avec des réglementations changeantes sont souvent liés à la lourdeur de la recherche par mots-clés, pour laquelle le contexte fait défaut. Des systèmes en silo et une documentation dispersée, ainsi qu'une perte de temps importante due aux mises à jour manuelles, compliquent encore la mise à disposition efficace des informations et des documents.

Un logiciel de gestion des politiques basé sur l'IA permet de remédier à la situation

L'entreprise S-PRO, fondée en Ukraine et aujourd'hui établie en Suisse, spécialisée dans l'innovation numérique et l'ingénierie logicielle, a développé un logiciel de gestion des politiques pour relever ce défi. Sous la forme d'un chatbot intelligent, celui-ci offre aux collaborateurs et aux parties prenantes un accès simplifié aux informations recherchées. Au lieu de parcourir des PDF ou des portails statiques, ils peuvent poser des questions en langage simple en saisissant du texte et obtenir des réponses précises basées sur leurs politiques internes. Grâce à l'intégration dans les plateformes de communication existantes telles que Sharepoints, Teams ou l'Intranet, la mise à disposition se fait avec un minimum d'effort opérationnel et fonctionne avec la structure de documents existante.

Évolutif, auto-apprentissage et conformité

Le chatbot intelligent s'adapte aux besoins individuels d'une entreprise et évolue avec elle. Il peut gérer des milliers de directives à travers les équipes et les régions et apprend en permanence à partir des interactions des utilisateurs afin d'améliorer la précision et de combler les lacunes de connaissances. Ce faisant, les utilisatrices reçoivent des analyses sur les directives qui sont demandées, mal comprises ou sous-utilisées. Cela favorise le respect des directives, réduit les risques et aide à prendre de meilleures décisions.

Un grand gain d'efficacité pour l'UICN

L'ONG International Union for Conservation of Nature and Natural Resources, basée à Gland (VD), a fait des expériences pratiques avec ce logiciel. Le porte-parole de la nature auprès des Nations Unies a été confronté à un grand défi en matière de documentation. Avec plus de 2'000 résolutions actives et archivées, l'équipe politique devait comprendre des contextes complexes, suivre les mises à jour et accéder aux contenus importants - le tout dans un délai raisonnable. Pour simplifier ce processus, S-PRO a développé la solution ChatR&R - un explorateur de politiques d'IA personnalisé, adapté à la structure spécifique de l'UICN. Cela permet aux utilisateurs de récupérer, d'examiner et d'interpréter les décisions en quelques secondes à l'aide de simples invites, sans aucune formation technique. "Pour certaines demandes, le traitement des documents peut prendre jusqu'à deux semaines. Aujourd'hui, nous avons les premiers résultats en dix secondes, c'est vraiment une grande amélioration. La qualité du résultat est également impressionnante et j'ai déjà reçu de nombreuses demandes pour d'autres projets de la même manière", déclare François Jolles, CIO & Directeur des systèmes d'information globaux à l'IUCN, à propos de la solution.

Source et informations complémentaires : S-PRO

Swiss Governance Forum 2025 : Régulation et innovation dans le système de santé

Le septième Swiss Governance Forum (SGF) du Centre de compétence en management public (KPM) aura lieu le jeudi 26 juin 2025 à l'Université de Berne, en collaboration avec l'Institut suisse pour la médecine translationnelle et l'entrepreneuriat (sitem-insel). Il est consacré à des questions centrales concernant les systèmes de santé, en Suisse et à l'étranger.

Le professeur Rudolf Blankart, professeur de Regulatory Affairs au centre de compétence pour le management public de l'Université de Berne et directeur de la réglementation chez sitem-insel, animera le 7e Swiss Governance Forum. (Image : © Université de Berne)

Le Swiss Governance Forum 2025 réfléchit aux questions les plus urgentes et aux dernières avancées en matière de soins de santé. "L'équilibre entre la réglementation nécessaire et la liberté d'innovation est la clé d'un système de santé viable", déclare Rudolf Blankart, professeur de Regulatory Affairs au centre de compétences en gestion publique de l'université de Berne et directeur de la réglementation chez sitem-insel. "Nous avons besoin de conditions-cadres basées sur des preuves qui garantissent la qualité tout en permettant de nouvelles approches de solutions". Rudolf Blankart ouvrira le forum en compagnie de Virginia Richter, rectrice de l'Université de Berne. La manifestation d'une demi-journée s'adresse aux décideurs de l'administration publique et de la politique, aux acteurs du système de santé ainsi qu'aux scientifiques travaillant à l'interface entre le management, l'économie, le droit et la médecine.

Perspective locale et globale

Le forum montrera comment les connaissances scientifiques soutiennent les décisions politiques et comment l'efficacité, la qualité et l'accès aux systèmes de santé pourraient être améliorés. L'accent sera mis sur les organisations internationales telles que l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). "Les systèmes de santé sont confrontés à des défis similaires dans le monde entier : des coûts en hausse tout en exigeant une qualité et une accessibilité maximales", souligne Blankart. "La comparaison internationale et l'échange continu d'expériences entre les prestataires de soins, l'industrie et la science nous aident à identifier des solutions efficaces".

Des conférenciers de haut niveau

Le Swiss Governance Forum 2025 se concentrera également sur les innovations systémiques et sur la manière dont les acteurs d'un système de santé hautement réglementé améliorent les approches innovantes, l'efficacité, la qualité et l'accès. Pour discuter de ces défis, le forum réunit différents acteurs et propose des conférences et des tables rondes avec des experts de premier plan issus des milieux scientifiques, politiques, administratifs et industriels, tels que

  • Matthias Glück, CEO de Post Sanela Health AG
  • Anne Lévy, directrice de l'Office fédéral de la santé publique, OFSP
  • Dr Ricarda Milstein, analyste des politiques de santé au département Santé de l'OCDE
  • Annamaria Müller, économiste de la santé et experte du système de santé suisse, présidente du conseil d'administration de l'Hôpital fribourgeois (HFR) et présidente du Forum suisse pour les soins intégrés (fmc)
  • Dr Niowi Näf, Chief Strategy Officer du groupe Hirslanden
  • Virginia Richter, rectrice de l'Université de Berne
  • PD Dr Caroline Schlaufer, enseignante au Centre de compétence en gestion publique (KPM) et directrice du laboratoire d'éthique et de politique du Multidisciplinary Center for Infectious Diseases MCID de l'Université de Berne.
  • Dr. Michaela Tschuor, conseillère d'Etat lucernoise et cheffe du département de la santé et des affaires sociales
  • Benjamin Wyss, doctorant à la chaire Regulatory Affairs du Centre de compétence en management public (KPM), Université de Berne et collaborateur scientifique chez sitem-insel
  • Thomas Zeltner, expert de renommée internationale en matière de santé et de systèmes de santé, médecin, juriste, professeur de santé publique à l'Université de Berne et docteur honoris causa de l'Université de Neuchâtel.
  • Rudolf Blankart, professeur de Regulatory Affairs au Centre de compétence pour le management public (KPM), Université de Berne et directeur de la réglementation chez sitem-insel

Le Swiss Governance Forum est organisé tous les deux ans par le Centre de compétence pour le management public (KPM) de l'Université de Berne et se consacre à des thèmes actuels et pertinents du management public. Il offre une plate-forme qui favorise les échanges entre la science, l'administration publique, la politique et l'industrie. L'objectif du forum est d'intégrer les connaissances scientifiques dans la prise de décision politique et entrepreneuriale tout en créant une compréhension plus profonde des défis de la pratique dans la science.

Source et informations complémentaires : www.kpm.unibe.ch/sgf

Formation à la sécurité : "Une formation à la sécurité réussie : Qu'est-ce qui est efficace ?"

La sécurité au travail n'est pas un produit du hasard, mais le résultat de connaissances solides, d'une attitude claire et d'une pratique vécue. Le colloque "Une formation à la sécurité réussie : Qu'est-ce qui est efficace ?" est consacré à la question centrale de savoir comment les entreprises peuvent non seulement transmettre la conscience de la sécurité, mais aussi l'ancrer durablement dans la pensée et l'action des collaborateurs.

Le 9 septembre 2025, un colloque sera consacré à la formation à la sécurité. (Image : zVg / SAVE AG)

Le grand écart entre les exigences de performance économique et les nombreuses formations obligatoires pose de grands défis à de nombreuses entreprises. Quels sont les méthodes et les formats qui conduisent réellement à un succès d'apprentissage durable ? Le congrès offre un aperçu des dernières connaissances scientifiques sur les performances de l'être humain dans des contextes liés à la sécurité ainsi que sur les processus d'apprentissage efficaces et la conception juridiquement sûre des instructions. Parmi les thèmes importants figurent la didactique, la méthodologie, les facteurs d'influence psychologiques et les formats de formation innovants qui font de plus en plus leurs preuves.

De manière claire et pratique, des entreprises telles que FMB, Swisscom et la Banque cantonale des Grisons partagent leurs concepts complets de formation à la sécurité et discutent de leurs expériences. Ce colloque s'adresse aux spécialistes et aux cadres des domaines de la sécurité, du développement du personnel, de la formation, de l'exploitation et de l'organisation ainsi qu'aux responsables de la prévention et de la gestion des risques. Les organes de surveillance et les représentants des organisations d'employés et d'employeurs ainsi que les conseillers dans le domaine de la sécurité y trouveront également de précieuses impulsions pour leur travail.

La conférence est organisée par SAVE AG. Cette entreprise est spécialisée dans le transfert de connaissances pratiques entre les professionnels de la sécurité sur les thèmes de la gestion des risques,
Corporate Security, sécurité des bâtiments, sécurité et protection de la santé (AS&GS), protection contre les incendies, sécurité des informations et des infrastructures, protection de la population ainsi que sécurité des machines et des processus, prévention des incidents, dangers naturels et environnementaux, surveillance et concepts de sécurité intégrale. L'équipe de SAVE AG peut s'appuyer sur un vaste réseau.

Plus d'informations et le programme complet de la conférence